Par une délibération du 13 juin 2019, la Cnil a prononcé une amende administrative de 20 000 euros à l’encontre d’une société pour avoir placé un ses salariés sous surveillance permanente via un dispositif de vidéosurveillance sans qu’aucune circonstance exceptionnelle ne le justifie. La Cnil a ainsi rappelé que “si la surveillance de zones sensibles [pouvait] être justifiée par des impératifs de sécurité, le placement sous surveillance permanente de salariés, attentatoire à leur vie privée, ne [pouvait] toutefois intervenir que dans des circonstances exceptionnelles tenant, par exemple, à la nature de la tâche à accomplir”.
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