Une salariée avait échangé avec une collègue des messages électroniques via une messagerie instantanée installée sur son ordinateur professionnel au moyen d’une adresse électronique personnelle. Par un arrêt du 23 octobre 2019, la Cour de cassation a jugé que la correspondance litigieuse provenait d’une boîte mail personnelle distincte de la messagerie professionnelle et était, par conséquent, couverte par le secret des correspondances.
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