La protection accordée par la loi à une marque descriptive est faible

Le 29 janvier 2020, la Cour Supérieure du Québec a jugé qu’une marque composée de termes génériques, fréquemment employés dans le langage courant et ayant une nature descriptive ne saurait bénéficier d’une protection étendue. Dès lors, à défaut d’avoir notamment démontré que la marque, au demeurant populaire, avait acquis une notoriété suffisante pour permettre de donner à ces termes un sens secondaire, le risque de confusion avec un nom commercial utilisant des termes similaires n’est pas caractérisé.

Pour lire le jugement de la Cour Supérieure du Québec

Ne manquez pas nos prochaines publications

Votre adresse email est traitée par FÉRAL afin de vous transmettre les publications et actualités du Cabinet. Vous pouvez vous désabonner à tout moment. Pour en savoir plus sur la manière dont sont traitées vos données et sur l’exercice de vos droits, veuillez consulter notre politique de protection des données personnelles.

Rechercher
Fermer ce champ de recherche.