Par jugement du 14 décembre 2009, le Tribunal de grande instance de Niort avait prononcé l’annulation d’un contrat d’intégration de progiciel entre la MAIF et IBM aux torts de ce dernier pour dol en estimant qu’IBM avait fait croire à la MAIF que le projet était réalisable dans les conditions initiales. La Cour d’appel de Poitiers, par décision du 25 novembre 2011, a infirmé le premier jugement, excluant notamment toute réticence dolosive d’IBM au motif qu’il « n’est pas établi qu’IBM a dissimulé de surcroit volontairement à la MAIF des informations majeures relatives au calendrier, au périmètre, au budget du projet ».
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