Par un jugement du 12 septembre 2019, le Tribunal de grande instance de Nanterre a condamné un éditeur de presse pour atteinte à la vie privée et au droit à l’image à la suite d’une publication sur son site internet d’un article relatif à une personnalité publique relayant “des suppositions illicites sur la relation sentimentale (…), en-dehors de toute actualité ou débat d’intérêt général”. L’éditeur a été condamné à verser au demandeur la somme de 5.000 euros à titre de dommages-intérêts.
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