Une société avait cessé de payer les prestations fournies par son prestataire informatique au motif que les installations présentaient des “difficultés de fonctionnement […] et [qu’il] n’y avait pas remédié”. Par un arrêt du 22 février 2018, la Cour d’appel d’Aix-en-Provence a relevé que le prestataire s’était abstenu de “s’enquérir de façon claire des besoins et souhaits de son client, néophyte en matière d’installation informatique” et que “le système préconisé et installé par [lui] ne répondait pas aux besoins de la société”, de sorte qu’il convenait de prononcer la résolution du contrat à ses torts.
Arrêt non publié