Le 28 octobre 2020, les Commissariats ont indiqué que l’installation de dispositifs de reconnaissance faciale à l’insu des clients de centres commerciaux, dans des bornes d’orientation, était contraire à la législation sur la protection des données. L’entrepreneur justifiait cette installation par le besoin d’une analyse démographique de la clientèle. Les Commissariats ont considéré que l’apposition d’autocollants à l’entrée des centres indiquant la présence de ces dispositifs ne permettait pas d’obtenir le consentement explicite des visiteurs.