La CNIL, dans un communiqué du 20 mars 2013, rappelle que les « keyloggers », dispositifs permettant d’enregistrer toutes les actions effectuées par un salarié sur son poste informatique, ne peuvent être utilisés dans un contexte professionnel qu’en cas « d’impératifs forts de sécurité, et d’une information spécifique des personnes concernées ». Elle souligne que la LOPPSI 2 punit désormais de 5 ans d’emprisonnement et de 300 000€ d’amende la vente et l’utilisation de certains de ces dispositifs à l’insu des personnes concernées.
Pour consulter le communiqué de la CNIL.