Le 25 mai 2020, la CNIL a indiqué que ses recommandations du 24 avril avaient été prises en compte dans le projet de décret relatif à l’application, notamment la pseudonymisation des données, l’absence de recours à la géolocalisation et la mise en œuvre de mesures de sécurité. Elle estime « que ce dispositif temporaire, basé sur le volontariat, peut légalement être mis en œuvre« , mais relève toutefois que l’intégralité des mentions légales d’information doit être mise à disposition de l’utilisateur au sein même de l’application.
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