Le 5 mai 2020, la CNIL s’est associée à huit autorités indépendantes pour déterminer leurs rôles dans le cadre de l’Accord de Paris signé en 2015. Selon la CNIL, l’application du RGPD produirait des externalités positives sur l’environnement car « la minimisation de la collecte des données et la limitation de la durée de conservation (…) peuvent avoir pour effet de contribuer aux objectifs de sobriété numérique« . La CNIL joue également un rôle de sensibilisation sur l’impact environnemental du numérique.
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