Le 23 janvier 2020, la Cour d’appel d’Aix-en-Provence a jugé que des courriers électroniques n’étaient pas couverts par le secret des correspondances lorsque leur envoi avait pour but de les diffuser largement. La Cour a donc admis la recevabilité, à titre de preuve d’actes de concurrence déloyale, d’emails adressés par des salariés d’une société aux clients de son concurrent direct et mettant en cause l’intégrité de ce dernier.
Arrêt non publié