Le réseau social a été condamné par le Tribunal de grande instance de Paris et en référé, sous astreinte de 550 euros par jour, à supprimer de son site des propos jugés injurieux envers un évêque et à communiquer les données permettant l’identification des auteurs de ces propos. Le groupe, créé en février et recueillant près de 23 700 fans, était illustré par une photo en gros plan de l’évêque.